Le Dé-mon

Mon coup de coeur à moi, c’est Space Hulk: Death Angel. Un petit jeu de carte solo/coopératif qui ne paye pas de mine et qui est sorti il y a déjà quelques années. Au début, je pensais naïvement que l’ennemi dans Space Hulk: Death Angel, c’étaient les Genestealers. Des saloperies de Xénos pleins de griffes qui en veulent à mes Space Marines, faut avouer que ça incite à la méfiance.

J’avais tort.

Dé de Death Angel

L’ennemi, c’est lui. Cette engeance infernale, ce rejeton du Chaos : le Dé. Moquez-vous, riez tant que vous voulez ! Mais au fond de moi, j’en suis certain : il a une conscience et une volonté propre. Et il veut ma mort. Lente et douloureuse, la mort. Il est fourbe. Il cache son jeu. Il sait créer une illusion de sécurité, mettre en confiance, pour que je baisse ma garde. Puis, au moment fatidique, il révèle sa vraie nature. Quand le Dé, maudit soit son nom, a décidé de la mort d’un Space Marine, rien de terrestre de peut s’y opposer. Je l’ai déjà vu enchaîner 3 zéros de suite pour massacrer mon meilleur combattant malgré le soutien de tous ses frères d’armes. Le Xéno isolé qui a porté le coup fatal n’était qu’un instrument.

Je hais ce Dé.

D’ailleurs, dès ce soir, je vais relancer une nouvelle expédition pour lui montrer que l’Empereur ne se laisse pas intimider si facilement !

 

4 commentaires

  1. D’ailleurs, je remarque que les dés foireux sont très souvent liés aux jeux issus de l’univers de Games Workshop. Qui n’a pas encore ses nuits hantées par les quadruple crânes sur relance ou les double 1 sur un sprint de Blood Bowl, hein ? Coïncidence ?

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