Velours courait de toutes ses forces dans le couloir du donjon. Légèrement sur sa droite, Herb, le prêtre, tentait de suivre son rythme, mais semblait avoir perdu son souffle. Au loin résonnait encore le cri d’agonie de Virbius le paladin.
« aaa..aaah…attends Ve…Velours ! » lança Herb avec difficulté.« J’en peux…plus ! »

Velours s’arrêta et s’adossa à la paroi. De toute façon, elle non plus n’aurait pas pu continuer longtemps. Après quelques instants où l’on entendait que leurs respirations se calmer.
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Et c’est de bon matin que je vais vous avouer une chose… J’aime Andreas Seyfarth ! Tous les jours depuis quelques mois je loue son nom. Vous ne le connaissez pas ?

Andreas Seyfarth est un auteur allemand, le pays du kubenbois, c’est dire l’orientation stratégique du bonhomme. Oui, un peu comme William Attia (Caylus) que j’aime aussi d’un amour fou, sauf que lui est français et qu’il est plus jeune. Mais passons. Seyfarth a été le papa de San Juan, Manhattan mais surtout du célèbre Puerto Rico sorti en 2002 et rapidement devenu un classique des jeux de gestion et d’expansion. Je vais vous parler ici de sa version « De Luxe » de 2011 et tardivement éditée en 2013 chez nous par Ystari.
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Caylus est un jeu de stratégie et de placement d’ouvriers, né du cerveau Vulcain de William Attia fin 2005. Primé des milliards de fois à sa sortie, minimum, c’est certainement le jeu du genre le plus connu de tous et celui qui a rencontré (et rencontre encore) le plus de succès. De plus il est édité chez les plus grands, les plus beaux : Ystari Games. What else ?

Attention, c’est du pur kubenbois, c’est du velu, du tatoué, du vrai qui vient chez toi avec ses bottes pleines de terre, qui rote et qui fouille dans ton frigo. Il est ressorti en juin 2012 dans une version plus chatoyante pour les yeux. La boîte, le plateau, les tuiles, tout a été redessiné tout en conservant le style original. Chacun jugera du résultat final.
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« Bon , on est combien ? 10 ? Ah… ben… on peut faire un wanted ou un loup-Garou alors. »
« Ah ouais mais non, c’est chiant, on attend vachement longtemps son tour, et puis si y’en a un qui meurt tout de suite, il va se faire chier.. »
« Ben, un times’ Up alors ? »
« Ah ouais, mais je pensais plutôt à la fin de la soirée / on en a déjà fait un la semaine dernière »
« Ben… à 10, y’a pas grand-chose…. »

Y’a PANIQUE A WALL STREET, de 3 à 11 joueurs. (Mais bon, c’est mini 5 joueurs pour que ce soit fun, sinon…)
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